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EMOTIONS

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EMOTIONS
28 novembre 2008

Au petit matin

Le soleil à peine levé laisse à notre imagination ensomeillée,

le soin d'entrevoir entre brumes et brouillards

un paysage ocsillant entre blancs et noirs

silhouettes fantomatiques,

cadanchu_028

que l'on regarde d'un air fanatique...

Cherchant à percer le mystère

de notre déesse la Terre.

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28 novembre 2008

Le baiser....

Léger comme une plume...hésitant comme balançant au gré du vent. Tout doucement, il vient se poser. Tout en tendresse, empreint d'amour ou de passion, il vient l'effleurer.

C'est doux, c'est chaud, c'est un baiser !

On l'attend parfois indéfinniment ou impatiemment, mais toujours on l'attend. C'est celui là, ce baiser là, qui nous fait rêver. Celui qui fait battre notre coeur à la chamade. Il peut se décliner sur toute la palette des sentiments ; mais, qu'il soit chaste, ardent, passionné, tendre ou effacé, c' est un don. Don précieux pour celui qui le donne, et celui qui le reçoit. Il en provoque des émois! Des larmes, des sourires, des joies.

Le coeur ne se sent plus, bondit, virevolte et grandit...

Emotions partagées... regards étonnés !

Un baiser pour consoler, un baiser pour aimer, un autre pour provoquer, celui là juste pour goûter.

Un baiser empreint de larmes pour se quitter,

Un baiser rieur pour se retrouver.

Petite chose de rien du tout, mais qui apporte beaucoup,

On se damnerait pour un baiser, qu'il soit offert, donner ou même voler.

Oui ! on le vole parfois, et jamais celui là ne déçoit !

On peut bien des choses regretter ! Mais jamais un baiser.

25 novembre 2008

Il ou Elle

Bien nulle part

Elle en a marre

   Tombé dans un puits

                       ll s'ennuie !

C'est un puit profond

Elle a un manque sans fond,

      Il lui faut de l'affection

                  Il a besoin de sa passion

Elle haït les mots d'amour,

Surtout ceux qui promettent TOUJOURS

        Après eux, éternellement, il court

                      A CAUSE d'eux, ils SONT à la BOURRE !

Alors tristement, sa vie reprend

Faiblement, elle se défend,

          Et, il va voir plus loin... d'ou vient le VENT.

13 novembre 2008

Une question de temps ....


45 à 50 h de boulot par semaine, un emploi du temps surchargé…
On court, on court, après le temps comme pour le rattraper, le devancer. Un œil sur la route de la vie, un sur la montre, les jambes qui gigotent dans tous les sens pour éviter les obstacles.
On court pour aller au boulot, on court pour rentrer à la maison, pour le repas, une bise vite fait le front de la tribu, un « hum hum » en guise de réponse à l’énoncé de la journée de l’autre, en même temps on prépare la machine à laver… L’impression d’être un mille pattes, autant de pattes, autant d’activité ! Non mais ça pas ?!!

Moi, je m’y oppose, j’arrête tout ! C’est bon, j’ai assez courue, j’ai assez regardée ma montre, culpabilisée pour un retard, une absence, un travail repoussé au lendemain. Et puis Chéri-bibi n’en peut plus non plus de me voir m’épuiser, mal dormir, subodorer, prévoir, bref me rendre malheureuse pour une connerie… ou deux !

Alors, je me replonge dans ma bulle, celle que l’on m’a fait découvrir… J’ai eu des parents voyageurs, des maisons un peu partout.. Au fond de la forêt, au bord de la mer, aux fins fonds des marais. J’ai appris à vivre en harmonie avec la nature ou tout est une question de temps… Mais à le regarder s’écouler.

Attendre la nuit tombante pour voir les cerfs et les biches venir se désaltérer au bord de l’étang ; le matin au petit lever voir les écureuils se galoper l’un après l’autre autour d’un tronc de chêne. Apprendre au fil des saisons à faire des bouquets d’herbes sauvages, découvrir les senteurs des arbres en fleurs. La douceur suavité de l’acacia en fleur, le chèvrefeuille entêtant, la discrète violette, l’odeur de l’automne, du bruit des pas dans les feuilles mortes. Le brame du cerf qui vous prend au ventre le soir à la tombée de la nuit.

Avec un père marin pêcheur, j’ai appris la patience. Attendre les marées pour poser et remonter les filets. Prendre le temps de préparer le bateau, réparer les filets tout en écoutant les anciens raconter le bon vieux temps : les grandes pêches, les grosses tempêtes.
Un rêve de conte pour la gamine que j’étais, je me voyais pirate bravant les tempêtes...
Papa me disait : la tête haute ma fille, regarde toujours l’horizon et vois ce qui arrive. Ne te laisse pas surprendre par la mer. Ne jamais te précipiter, car elle ne te pardonnera pas…

Avec une mère terrienne et un peu sorcière, j’ai appris à écouter la nature. Ces grands silences avant un gros grain, un orage, ou tout se tait. Pas un oiseau, un insecte, le temps est suspendu.
Maman me disait : Vois… la nature s’écoute. Je tendais l’oreille, pas un bruit, une pesanteur se fait sentir, pas un frémissement de feuille. Puis les éléments se déchaînaient, ce n’était qu’éclats, roulements, vacarme. Un léger bruit de pluie se fait entendre, puis les gouttes deviennent plus lourdes, le bruit se fait plus sourd, soutenu. Après l’orage, la nature s’ébroue, le vent fait s’égoutter les arbres, un brin de soleil s’immisce entre les nuages pour réchauffer l’atmosphère. Une brume légère s’élève du sol, l’air fleure bon la terre mouillée.

Ce sont mes plus beaux souvenirs, je veux les revivre au présent, maintenant ! Avec la nature qui m’entoure, et ceux qui sont dans ma vie. Je veux leur faire partager ce que je vois, je ressens, partager ma vision des choses. Je veux retrouver ma patience, et à nouveau prendre le temps de vivre chaque moment comme une chose unique. Et surtout laisser la nature faire son travail… et me donner, nous donner… un enfant !

23 septembre 2008

ORAGES

Trois coups de tonnerre retentissent,

derrière les nuages, la lune se glisse,

Dans la nuit profonde,

L'impression que le monde s'effondre.

Eclairs et vents se déchaînent,

les feuilles se promènent.

Seule dans les bourrasque du vent,

Elle se mêle aux éléments.

Alos que d'autres sont dans la terreur,

Elle ne ressent aucune peur.

Du regard, elle soutient les éclairs,

Elle adore le bruit du tonnerre.

Orage de ses nuits, ô rage de ses jours,

Faites lui découvrir l'amour.

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23 septembre 2008

Sculptures

Quand tout se mélange, couleurs, formes... Quand du premier coup d'oeil on ne voit  que le premier plan...

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11 septembre 2008

Voyager au dela... du rêve

                                                               

                                                Pouvoir poser les yeux sur des paysages immenses, au détour d’un chemin découvrir une cascade d’une hauteur vertigineuse qui s’enfonce dans la végétation verte et humide, effleurer du bout des doigts un rocher moussu et sentir sa force vibrer. Goûter à l’étrange sensation d’une forêt qui se referme sur les pas que l’on vient de faire, avoir une impression de langueur dans la chaleur moite et étouffante. Apercevoir singes et oiseaux s’enfuyant dans un fracas de cris et jacassements. Entendre l’impressionnant grouillement des insectes sur le sol, cachés sous la végétation si dense.

                                                 Passer de la forêt équatoriale aux chants d’oiseaux multiples et aux couleurs chatoyantes ; à la vue mystérieuse des landes d’Irlande. Sentir les odeurs d’océan balayant le rivage sauvage, avoir sur le visage les embruns de la mer aux reflets d’argent, d’émeraude. Sentir la douce odeur des bruyères mauve et blanche. Entendre et écouter son propre cri s’élever et se perdre dans l’infini des confins de la campagne et avoir en réponse le bêlement des troupeaux de moutons. S’avancer sur le sentier et apercevoir une vieille tour en granit abandonnée, tourmentée par le vent. Les portes et volets ont disparus, il ne reste que les gonds, du toit de chaume, il n’y a que quelques brassées malmenées par les intempéries. L’herbe folle a envahit le sol, et s’est immiscé entre les pierres. Poser à plat sa main, sur la pierre, fermer les yeux et ressentir les vibrations de la demeure, revivre le temps d’une seconde le passé. , Avoir les saveurs et les odeurs d’un temps oublié, ou le mystère et la magie faisaient partie de la vie. Les soirées juste éclairées à la bougie, le soir au coin de l’âtre rougeoyant à filer la laine des moutons à tête noire, les nuits froides et humides dans un lit de plumes bassinées par des briques chauffées prêt de la cheminée.

                                                    Gravir le chemin rocailleux, et repartir vers la côte ou les mouettes et sternes font la ronde dans l’immensité du ciel. Contourner les murets de pierre qui s’élèvent à quelques centimètres du sol et font des kilomètres de longueur,  Traverser les champs d’herbes parsemés de fleurs aux multiples couleurs et, s’arrêter sur un rocher surplombant la mer, écouter l’océan mugir dans le granit des rochers qu’il a sculpté aux rythmes des saisons, voir l’écume des vagues s’éclater en de minuscules gouttelettes, lorsque les vagues viennent se heurter aux falaises. Quelques maisons aux lourds toits de chaumes et semblant renfermer toute la douceur et toute la chaleur qui manquent à l’extérieur sont éparpillées le long des falaises. Elles sont accolées aux collines et roches recouvertes d’herbes et de mousse.

                                                     S’asseoir dans l’herbe sans bruit et laisser le regard se perdre dans l’immensité du paysage, se poser sur la lande ou le soir à la tombée de la nuit, il paraît que les fées et lutins se chamaillent le terrain, et se joue de gentils tours. Elever les yeux vers le ciel, suivre le vol long et harmonieux des mouettes et regarder les nuages s’ébattrent dans les cieux ou ils se poursuivent, se rattrapent, s’effilochent pour disparaître. Fermer les yeux et entendre tout doucement les chants celtes qui s’élèvent alentours. Cette musique qui est si douce pour s’amplifier et devenir entraînante.

                                                      Apercevoir derrière un chardon, une petite chose. Grande comme l’index, toute en finesse, elle enchante les yeux par sa beauté, sa fragilité et son énergie.

Son regard clair comme l’eau des torrents les plus purs juste ombragé par de longs cils soyeux ;

Ces sourcils ne sont qu’une fine ligne de brun, l’or de ses cheveux a des reflets de miel dans les rayons du soleil, Son petit visage est délicat, on le dirait ciselé dans la nacre, un sourire laisse découvrir de petites dents blanches comme l’ivoire. Ses vêtements tissés de fleurs et de feuilles laissent deviner ses formes longilignes et harmonieuses. Tout n’est que finesse et délicatesse, dans son dos, on aperçoit deux petites ailes translucides avec quelques nervures comme de jeunes feuilles d’arbres....

                                                        La magie du paysage a encore une fois opérée, et sans mégarde, je me suis montrée par curiosité à l’être humain qui passait…                                             

11 septembre 2008

Les éléments

                                            LES ELEMENTS…

Pouvoir remarcher dans la forêt le temps d’un automne,  remplir ses yeux des couleurs de fin d’été, ces couleurs rousses orangés, les marrons dégradés. Partout des couleurs, marcher dans l’herbe humide parsemée de feuilles,  sentir l’humus, la mousse. Regarder s’enfuir les écureuils à la recherche de glands, frissonner sous le vent qui fait bruire les fougères teintées de rouille. Ecouter le chant des oiseaux, pouvoir oublier le temps qui passe, se rapprocher de la nature, remplir les poumons d’air pur.

Quitter les chemins sablonneux pour prendre un routin terreux et s’enfoncer au milieu de la forêt, guetter  une biche au détour d’un arbre, poser sa main sur le tronc, et sentir la sève le parcourir. Lever les yeux vers le ciel et apercevoir  le soleil qui joue parmi les feuillages et les branches. Parcourir des kilomètres dans les feuilles tombées à terre, y mettre des coups de pieds pour les voir s’envoler. Poursuivre le vent. Le sentir s’immiscer dans le cou, s’enrouler dans les cheveux et caresser le visage, d’un baiser gelé.

         Aller jusqu’à l’orée du bois et tomber sur la dune, tomber à genoux et laisser les mains s’égarer dans le sable, le laisser glisser entre les doigts, jouer au sablier, essayez d’arrêter le temps de s’évaporer, et ne jamais y arriver. Faire des arabesques sur le sable, dessiner des initiales. Redessiner le contour du monde, refaire sa vie sur le sable. Y enfouir les doigts, les mains, le caresser, comme l’on caresse un amant.

Gravir la dune, trébucher sur le sable mou, s’accrocher aux genêts, et prendre du haut du sommet, la gifle du vent venu du large. Sentir les effluves de la mer d’hiver, l’odeur de l’iode, des algues ; laisser son regard errer sur l’immensité de l’océan, pouvoir le capter, l’envelopper d’un regard. Voir, les nuances de la mer, les bleus profonds et verts intenses, bleus des profondeurs, et verts des algues,  voir l’écume venir mourir sur le sable, entendre le murmure de l’agonie des vagues, écouter le ressac, la fin et le début de la vie.

La mer chuchote, elle raconte ses secrets au vent qui les emportent loin dans le monde. La mer dit qui sont ses amis, et refuse de se laisser dompter par les hommes. Jamais, elle ne se laissera surmonter par les hommes, jamais ils ne l’auront,  ne la vaincront. Elle tolère leurs visites, leurs incursions dans ses eaux, mais elle sait si bien se rebeller, ses vagues deviennent énormes, rugissantes. Elle se met en colère, ses eaux montent et emportent tout sur son passage, elle écume, devient blanche, bleu puis noire. Le vent se mêle à elle pour la grossir, elle se gonfle, va roulante et mugissante s’écraser sur les rochers et le sable, elle y fait s’échouer tronc d’arbres, algues et ordures qu’elle a arrachée à la terre. De temps à autre, elle rencontre une goélette qui s’est égarée dans le présent, dont elle fait grincer le bois. Elle écrase durement ses vagues sur la proue et lave le pont de son eau salée. Le vent joue avec les voiles, il les gonfle, elles semblent vouloir s’envoler, vouloir se libérer du timon. Sur le pont le moussaillon, se fait malmener par les paquets de mer et par le vent qui semble vouloir l’arracher au bateau et l’abîmer dans les fonds marins. Il est trempé, Transi par la froidure du vent, il rentre au chaud dans le carré, se verse un quart de café, et file voir le capitaine à la batterie, la barre est en bois, elle est patinée par le temps et le nombre de mains qui l’ont caressées.  Tout est fait de bois, la douce couleur du miel. 

Sentir le bateau s’échapper, partir de lui-même, prendre sa destinée en main. Les voiles ont été vaincues, elles pendent lamentables sur le mât, déchirées, malmenées par le vent, la goélette est prise dans le tourbillon du vent. Elle se dirige droit vers des écueils qui affleurent à peine de l’eau, mais ils sont là bien présent et attendent leur proie,. C’est dans un gémissement, un grincement terrible et effroyable que la goélette rend son dernier soupir. L’étrave est éventrée, l’eau s’y engouffre.

La goélette sur couche tout doucement, l’eau gargouille autour d’elle, des morceaux de bois, des planches voguent autour. Des barils roulent sur les vagues,  des craquements sinistres confirme l’agonie de la goélette. Plus jamais, elle ne chevauchera la mer, fière, gonflée par ses voiles blanches, semblant voler sur l’eau. Plus jamais, elle n’arrivera, attendue sur les ports de monde, victorieuse contre les éléments.  La mer l’a engloutie dans un dernier gargouillis.  Seul le mât et un reste de vigie immergent de l’eau, et font la nique à la mer qui n’a pas réussi à les dévorer en entier.

Sur la plage échouée, le matelot, reprend difficilement sa respiration ; encore effrayé par ce qu’il vient de vivre, crachant l’eau de mer, qui s’est introduit dans ses poumons, dans sa gorge, Dieu, qu’elle est salée, et qu’elle est froide. Que s’est-il passé ? Il était dans la cabine, quand la mer déchaînée a fracassé les murs, l’a enveloppée de sa froideur humide pour l’arracher au bateau. Elle l’a enroulée dans ses vagues, lui a montré le fond, lui a fait racler le sable, s'écorcher aux rochers, elle lui a montré les couleurs de sa colère, lui a donné le pouvoir d’avoir peur d’elle, de la craindre et de la respecter. Elle lui a montré sa force de destruction.

Pourtant, il l’aime toujours, sa mer, si bleu, si belle et reposante, si caractérielle. Il se lève titube sous la force du vent, et sous sa fatigue, il jette un regard sur les restes du bateau, le calme ; le calme est revenu, le vent s’est apaisé, la mer a retrouvé sa sérénité. Il pense avoir vécu un rêve. On dirait que rien n’a existé, qu’il est revenu au début du monde.

Il remonte sur la plage, prend un sentier au milieu des dunes, et tourne le dos à la mer, il resserre autour de lui, les haillons qui lui restent. Le soleil, essaye de se frayer un chemin au milieu des lourds nuages noirs, qui roulaient sous le vent et encombraient le ciel. Sous la supplique du soleil, ils s’écartent, s’étirent, s’étiolent et disparaissent. Enfin, le soleil apparaît et dispense sa chaleur et ses  rayons pour réchauffer le moussaillon. Il rentre dans le bois, respire l’odeur des fougères, surprend un écureuil qui joue sur le tronc d’un pin. Il entend au loin un pic vert et écoute les chants des tourterelles. Les aiguilles de pins lui blessent les pieds, il s’aperçoit qu’il a perdu ses chaussures. Le sable est froid, malgré le soleil qui donne. Il continue son chemin et réussit à revenir au port, mais par la route, quel désarroi !

Il raconte son histoire, sa peur, sa frayeur. Il regarde la nature, les éléments autrement, il restera toujours près de la mer, il restera à l’écouter lui murmurer ses pensées, il l’aimera, l’adora comme on peut le faire avec une femme. Il sait qu’elle lui sera fidèle, qu’elle ne lui veut aucun mal, elle l’a sauvée, lui a donner une chance de la connaître et de l’apprécier.

Depuis, il vit sur la côte, dans une maisonnette, sur pilotis, près des rochers, entourés de pins et de fougères. Comme seuls compagnons, il a la nature, les animaux, le vent et la mer, il a fuit les hommes. Le matin, il se lève aux aurores, regarde le soleil, qui caresse la mer de ses rayons. Il admire, le reflet de l’eau sur le sable, qu’il parcoure inlassablement du matin au soir, et parle aux mouettes qui planent sur le vent. Il écoute le bruissement des arbres qui chuchotent les uns aux autres, l’histoire peu commune de cet homme, que la mer a sauvé et épousé.

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9 septembre 2008

Bienvenue

je vous offre une balade a travers mes émotions, mes coups de coeur, mes instants T.

Pour me permettre de m'améliorer, laissez moi vos avis, conseils, idées.

A bientôt !moiiii

Fred !

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